« Les rangs d’appel se transforment en une interminable colonne de prisonniers qui commence à s’écouler lentement dans la rue, encadrée par des SS armés et leurs chiens. C’est alors qu’à la sortie du camp, de la colonne d’abord silencieuse, s’élève la voix d’un détenu qui commence à entonner la Marseillaise. Puis, c’est tout le groupe des prisonniers qui se met à chanter. » (L’Oublié de Dora – extrait)
La photo montre un groupe de prisonniers de Royallieu (Compiègne) en partance pour l’Allemagne.